Lyrics ... French song like a lullaby. Peaceful & tender. Male & woman voices, ...French song like a lullaby. Peaceful & tender. Male & woman voices, piano, accordion & rhythm.
Je mourrai sans un bruit Dans tes bras la camarde, Tu cueilleras mon fruit De ta main blafarde
Généreuse, tu donnes l'infini du néant, Cet air que tu fredonnes Me prendra dans l'instant.
Tu me berceras mère, Cajoleras, griseras Souffleras la chimère
Que mon cœur baisera.
Le secret de ma vie S'éteindra avec moi, Dans tes bras alanguis Je ne serai plus moi I will die without a sound In your arms grim reaper You will pick my fruit With your alabaster hand Generous, you give The infinity of the void This air that you are humming Will take me in a moment You will rock me mother Cuddle me, make me swoon Blow the chimera towards me That my heart will embrace. The secret of my life Will die with me In your languid arms I will no longer be me.
Lyrics ... "A simple French song about ""infinitesimally small & infinitely ..."A simple French song about ""infinitesimally small & infinitely grand"". Female voice and guitar."
Dans un seul grain de sableil y a le SaharaEt dans une simple goutteil y a tout l'océanDans une feuille d'érableil y a le Canada L'infiniment petitc'est l'infiniment grand Dans un petit glaçonil y a tout l'AntartiqueEt dans un courant d'airil y a les ouragansDans un quart de soupiril y a toute la musique L'infiniment petitc'est l'infiniment grand C'est comme ça c'est la vieà travers un microscopeou à travers un téléscopec'est du pareil au mêmedes boules tournentautour de boulesqui tournentde boules qui tournent Dans un seul petit motil y a toutes les histoiresDans un éclat de rireil y a tout les enfantsDans un le regard d'un hommeil y a tout les espoirs L'infiniment petitc'est l'infiniment grandL'infiniment petitc'est l'infiniment grand
Manon - Allons! Il le ...Manon - Allons! Il le faut!... Adieu, Notre Petite Table [MIL030 - 54]
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3'35
Jules Massenet
Lyrics ... Sad & sentimental. Soprano and symphony orchestra.
MANONAllons!... il le faut!Pour lui-même!Mon pauvre chevalier!Oh! Oui, c'est lui que j'aime!Et pourtant, j'hésite aujourd'hui!Non! non! je ne suis plus digne de lui!J'entends cette voix qui m'entraîneContre ma volonté:"Manon, tu seras reine,"Reine par la beauté!" Je ne suis que faiblesse et que fragilité!Ah! malgré moi je sens couler mes larmes. Devant ces rêves effacés!L'avenir aura-t-il les charmesDe ces beaux jours déjà passés?Adieu, notre petite tableQui, nous réunit si souvent!Adieu, notre petite tableSi grande pour nous cependant!On tient, c'est inimaginable,Si peu de place... en se serrant...Adieu, notre petite table!Un même verre était le nôtre,Chacun de nous, quand il buvait,Y cherchait les lèvres de l'autre...Ah! Pauvre ami, comme il m'aimait!Adieu, nôtre petite table! Adieu!
LES ANGESÉtaient-ce les humeurs de l’automne Mélancolie des feuilles sous les ormes Était-ce la couleur de l’air, la douceur de l’eau Tout ce qui fait encore danser les roseauxÉtait-ce la béance de ton cœur La triste précision des longues heures Ou était-ce le fond du temps, le fond des gens, Profondément, les vivants...?Il est trop tôt ce soir Au bord des battants noirs La lune n’a pas eu le temps De dissuader le vent.Était-ce la hauteur des étoiles Qui ont soudain hissé leurs grandes voiles Emmenant avec elle, les fées Dérobant la brillance de l’étéLes angesÉtait-ce l’insouciance du hasard Que l’on a vu sortir trop en retard Et qui sous ta fenêtre a oublié L’appel du temps, l’éternité.Il est trop tôt ce soir Au bord des battants noirs La lune n’a pas eu le temps De dissuader le ventÉtait-ce la figure du triste monde Colère de la mer qui monte Était-ce le fond des villes, les ports trop loin L’indifférence de chaque matin.Était-ce l’impuissance de tes peurs Les mains vides de sens, dans l’ampleur Adieu le sort, adieu l’exil Adieu l’existence tranquille.